Comprendre vraiment la santé capillaire
On pense souvent qu'il suffit d'acheter le bon shampooing. Pourtant, chaque cheveu raconte une histoire différente. Notre approche commence par écouter ce que vos cheveux essaient de vous dire depuis des mois.
Découvrir le programme
Des parcours qui s'adaptent à votre rythme
Certains préfèrent lire pendant des heures. D'autres ont besoin de manipuler, de toucher, de voir les résultats immédiatement. On a arrêté de forcer tout le monde dans le même moule.
Nos formations commencent en septembre 2025 avec trois formats distincts. Parce qu'on a remarqué que les professionnels qui travaillent déjà dans le secteur apprennent différemment des débutants complets.
- Sessions intensives d'une semaine pour ceux qui veulent tout absorber rapidement
- Ateliers du samedi étalés sur six mois pour concilier formation et emploi actuel
- Mentorat individuel avec des experts qui ont passé quinze ans dans le domaine
- Bibliothèque de ressources accessible à tout moment selon vos besoins du moment
Ce qui change vraiment en 2025
L'industrie capillaire évolue vite. Trop vite parfois. Voici ce qu'on observe sur le terrain et comment ça transforme nos pratiques au quotidien.
Minimalisme capillaire
Les clientes demandent moins de produits mais plus d'efficacité. On voit apparaître des routines à trois étapes maximum qui donnent de meilleurs résultats que les protocoles compliqués d'avant.
Diagnostic personnalisé
Les solutions génériques ne fonctionnent plus. Chaque cuir chevelu réagit différemment selon le climat, l'eau du robinet, le stress quotidien. On apprend à identifier ces nuances subtiles.
Approche holistique
Impossible de traiter les cheveux sans regarder l'alimentation, le sommeil, la gestion du stress. Les professionnels qui réussissent maintenant ont une vision globale de la santé.
Des cas réels qui nous ont appris quelque chose
Théorie et pratique, c'est deux mondes différents. Voilà ce qu'on a découvert en accompagnant des professionnels pendant leurs premiers mois d'activité.
Le cas Léa Barthélémy
Elle sortait d'une formation classique. Excellent sur le papier. Sauf qu'en salon, elle perdait ses moyens face aux cheveux texturés. On a passé trois mois ensemble à déconstruire ses réflexes automatiques.
Aujourd'hui, elle gère un espace dédié aux cheveux crépus dans un salon à Lyon. Sa clientèle a doublé en un an, pas grâce à la publicité mais au bouche-à-oreille.
- Accepter qu'on ne sait pas tout change la dynamique avec les clients
- Les techniques apprises sur cheveux européens ne se transposent pas directement
- Observer pendant quinze minutes vaut mieux qu'agir trop vite
- Poser des questions précises sur les habitudes quotidiennes révèle des solutions
Ce qu'on construit ensemble
Former des professionnels capables de penser par eux-mêmes plutôt que de suivre aveuglément des protocoles. C'est plus long, moins prévisible, mais tellement plus pertinent.
Nos anciens participants ne promettent pas de miracles à leurs clients. Ils expliquent ce qui est possible, ce qui prend du temps, ce qui dépend de facteurs incontrôlables. Cette honnêteté crée une confiance durable.
Julien Mercier
Formateur spécialisé en trichologie
J'ai vu des centaines de personnes passer par différentes formations. Ce qui fait la différence, c'est pas la quantité d'informations absorbées mais la capacité à observer vraiment ce qui se passe devant soi. On passe beaucoup de temps sur cette compétence précise.
Les inscriptions pour la session d'automne 2025 ouvrent en juin. On garde des groupes réduits parce que l'accompagnement individualisé demande du temps et de l'attention.
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